Emailing : la relance, c’est tout au long du cycle de vie client !

Comme chacun sait, il existe en marketing client trois phases fondamentales : l'acquisition, la fidélisation et la rétention. C'est particulièrement lors de cette dernière phase que les e-marketeurs élaborent et lancent leurs campagnes d'Emailing de relance afin de réveiller les inactifs et les maintenir dans leurs bases de données. Pourtant, et comme nous le suggère l'agence Alchemy Worx qui nous a inspiré ce billet, il serait plus judicieux de penser la relance tout au long du cycle de vie client au lieu d'y avoir recours dans les derniers instants, lorsque l'abonné est déjà sur le point de tourner les talons. Car la faiblesse d'un programme de relance réside dans sa sporadicité : les emailings sont généralement envoyés dans les trois à six mois suivants l'inactivité, passant outre les premiers signes de désengagement alors même que chaque campagne devrait être pensée en soi comme une relance.
Les-ouvreurs-des-emails-departages-entre-les-anciens-et-les-nouveaux-ouvreurs
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Pour ce faire, mesurer l'amplitude du taux d'ouverture de chaque Emailing est une bonne démarche pour identifier les ouvreurs des cliqueurs de chaque campagne (entre ceux qui ouvrent ou cliquent pour la première fois et ceux qui ouvrent ou cliquent régulièrement au cours d'une période donnée). De cette manière, vous saurez si le plus gros de vos ouvertures ou de vos clics ont été générés par ceux qui sont déjà engagés ou ceux qui n'ont pas ouvert ou cliqué pendant un certain temps. Ce regard sur les chiffres vous aidera également à déceler les campagnes qui ont engendré le taux d'ouverture et de clics le plus élevé parmi ceux qui ont ouvert et cliqué pour la première fois depuis longtemps. Vous aurez ainsi de précieuses pistes quant aux procédés participant au réveil des inactifs que vous aurez eu soin de détecter dès les premiers signes de désengagement en suivant de plus près les rapports statistiques (de Sendethic of course ! 🙂.